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Enfant végétarien ou végétalien : est-ce sans danger pour sa santé ?

Mis à jour le 01 août 2025 2 de nos experts

enfant-vegetarien

Certains parents font le choix d’exclure la viande, voire tous les produits d’origine animale, de l’alimentation de leur enfant. Mais ces pratiques sont-elles compatibles avec les besoins nutritionnels d’un organisme en pleine croissance ?

Régimes végétarien, végétalien ou encore macrobiotique : quels sont les risques et les précautions à connaître pour préserver la santé de l’enfant ?

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Sommaire de l'article

En résumé

  • Être végétarien peut convenir à un enfant si son alimentation est suffisamment équilibrée et variée, en associant différentes sources végétales pour couvrir ses besoins nutritionnels et surtout en conservant les apports en produits laitiers et en œuf
  • Le régime végétalien est plus à risque de carences sévères et de fait déconseillé chez l’enfant. Il nécessite un suivi médical strict avec une complémentation adaptée pour éviter des carences graves.
  • Le régime macrobiotique est fortement déconseillé chez l’enfant, car il entraîne des risques nutritionnels majeurs pouvant nuire à sa croissance et à son développement.

Végétarien, végétalien, macrobiotique : quels sont ces régimes ?

Le régime végétarien

Les végétariens consomment des légumes et des fruits crus et cuits, des céréales qui sont en général peu raffinées (contenant ainsi l’assise protéique et une grande partie des enveloppes des grains, riches en fibres), des légumineuses (lentilles, pois chiches, fèves, etc.), des fruits oléagineux (noix, amandes, noisettes, …), des graines (graines de tournesol, de courge, de lin, etc.), des huiles, ainsi que des œufs et des laitages, mais pas de viande ni de poisson.

Diversification alimentaire chez l’enfant végétarien

La diversification alimentaire est une étape clé du développement nutritionnel. Chez un enfant végétarien, elle peut être menée de façon sereine à condition de respecter les principes de variété et d’équilibre. Les légumes, les fruits, les céréales, les légumineuses, les œufs et les produits laitiers peuvent tous être introduits progressivement, en respectant les recommandations habituelles. Gardez également en tête les apports en lipides ainsi que les suppléments en vitamine D.

Découvrez notre article dédié à la diversification alimentaire.

Le régime végétalien

Les végétaliens excluent tous les produits d’origine animale, y compris les œufs, le lait, le fromage, le miel (qui, pour rappel, est déconseillé aux enfants avant l’âge d’un an en raison du risque de botulisme) ou encore le beurre. Le régime repose uniquement sur des aliments d’origine végétale comme les céréales, légumineuses, légumes, fruits, graines et oléagineux.

Ce régime alimentaire expose l’enfant à un risque accru de carences, notamment en protéines, vitamine B12, fer, calcium, zinc, iode, vitamine D et acides gras oméga-3. Sans suivi médical adapté et sans supplémentation rigoureuse, ces déficits peuvent avoir des conséquences graves sur la santé et le développement de l’enfant.

Ces carences peuvent causer un retard de croissance, un ralentissement du développement psychomoteur, une diminution des performances cognitives, ou encore un rachitisme.

Le cas particulier du végétalisme avant 3 ans

Avant l’âge de 3 ans, l’alimentation doit couvrir des besoins nutritionnels spécifiques pour permettre une croissance optimale. Un régime végétalien strict, excluant tous les produits d’origine animale, peut exposer à des carences graves s’il n’est pas rigoureusement planifié. C’est pourquoi un suivi médical régulier par un professionnel de santé est indispensable.

En effet, le végétalisme peut s’avérer dangereux, car il est inadapté à l’enfant sans aménagements. Si les parents appliquent ces habitudes alimentaires à leur enfant sans suivre les avis d’un médecin et d’une diététicienne on peut avoir recours au substitut du procureur chargé des mineurs par un signalement. Et du fait des conséquences graves pour la santé, les professionnels de santé et le médecin peut être amené à faire un signalement auprès du procureur de la République pour mise en danger.

Le régime macrobiotique

Le régime macrobiotique se rapproche du végétalisme, avec cependant la possibilité de consommer, sauf dans sa version stricte, de faibles quantités de poissons maigres de petite taille, et des fruits de mer. La consommation de produits laitiers n’est pas encouragée : l’être humain n’aurait pas besoin de lait après le sevrage

Ce régime est totalement déconseillé chez l’enfant, en raison de carences multiples, notamment en vitaminesB12 et D, en riboflavine, en calcium, en protéines, en matières grasses. Ces carences peuvent causer un retard de croissance, un ralentissement du développement psychomoteur, une diminution des performances cognitives, ou encore un rachitisme.

Pensez-y !

L’aide d’une diététicienne ou d’un médecin nutritionniste est nécessaire pour s’assurer que les besoins nutritionnels nécessaires à la croissance et au neurodéveloppement sont satisfaits, en particulier avant l’âge de 3 ans, avec un accent particulier sur le fer, le calcium, la vitamine D, la vitamine B12, le zinc et les acides gras polyinsaturés oméga 3.

Pour les enfants, jusqu’à 3 ans, il est recommandé de consommer un lait infantile adapté, et les formules à bases de protéines de riz hydrolysées (Modilac Expert Riz 1®, Modilac Expert 2®, Modilac Expert 3®, Novalac Riz®) seront utilisées permettant des apports en fer, vitamines, acides gras essentiels limitant les risques de carences. Un apport de 500 ml par jour est recommandé jusqu’à 3 ans.

Le conseil du pédiatre

Il est important d’anticiper la diversification alimentaire en cas de végétarisme ou végétalisme familial, en effet un suivi rigoureux permet d’éviter des conséquences majeures sur le développement de votre enfant.

Dr Sandra BRANCATO

Enfant végétarien : quels repères nutritionnels essentiels ?

Si les protéines ou certaines vitamines sont présentes dans un régime végétarien, leur qualité ou leur assimilation peut nécessiter une attention particulière. Voici les principaux repères à garder en tête.

Protéines : combiner les sources végétales

Les protéines sont essentielles à la croissance des enfants. Elles sont présentes dans les légumineuses, les céréales, les œufs, les produits laitiers, les oléagineux et certaines graines.

Pour garantir un apport complet en acides aminés essentiels, il est recommandé de varier les sources végétales et de les associer régulièrement au cours des repas. Ces associations permettent de compenser les déficits de certains aliments en acides aminés indispensables, tout en assurant une bonne qualité nutritionnelle globale.

Et en pratique ?

Pour les tout-petits, on peut proposer une purée de lentilles corail avec de la semoule fine, ou une purée de pois cassés accompagnée de pommes de terre. Le duo purée de haricots blancs et riz bien cuit est aussi une bonne option. Ces associations permettent d’apporter des protéines végétales de bonne qualité, en respectant les capacités de mastication des jeunes enfants.

En effet, les experts recommandent et encouragent les parents à varier le plus possible les sources au cours de la semaine, même si on ne les associe pas au même repas.

Fer : sources végétales et vitamine C pour l’absorption

Le fer est un nutriment essentiel à la croissance de l’enfant et au développement de son cerveau. On le retrouve dans les légumineuses, les légumes à feuilles vert foncé (comme les épinards, les blettes ou le chou kale), les céréales complètes, les fruits secs, les œufs et le laits infantiles chez le jeune enfant.

Comme le fer d’origine végétale est moins bien absorbé par l’organisme, il est recommandé d’associer ces aliments à des sources de vitamine C[1], comme les agrumes, les fraises, les poivrons ou le brocoli, pour en améliorer son assimilation par l’organisme de l’enfant.

Calcium et vitamine D : produits laitiers ou alternatives enrichies

Le calcium est indispensable à la formation des os et des dents, et la vitamine D favorise son absorption[2]. Les produits laitiers comme le lait, les yaourts ou le fromage restent des sources fiables de calcium.

En cas d’éviction ou de consommation réduite chez les jeunes enfants, notamment dans le cadre d’un régime végétalien, les boissons végétales classiques ne sont pas adaptées. Seules les préparations infantiles spécifiques comme les hydrolysats de protéines de riz (ex : Modilac Riz®), peuvent convenir, sous supervision médicale.

Pour les enfants plus grands, le tofu fabriqué avec un sel de calcium peut être une source de calcium intéressante, à condition qu’il soit bien cuit et proposé sous forme adaptée à leur capacité de mastication. Certains légumes verts comme le brocoli ou le chou peuvent également contribuer à l’apport de calcium. Une supplémentation en vitamine D est fréquemment recommandée, quel que soit le régime alimentaire.

Acides gras essentiels : huiles végétales, noix, graines

Les acides gras essentiels, comme les oméga-3, jouent un rôle important dans le développement cérébral. Ils sont présents dans certaines huiles végétales (colza, lin, noix), ainsi que dans les graines de chia ou de lin, les noix et les oléagineux à introduire sous forme de purée, de poudre fine ou bien mixés dans une préparation. Il est conseillé d’en varier les sources pour couvrir les besoins en acide alpha-linolénique (ALA).

Le saviez-vous ?

L’acide alpha-linolénique (ALA) est un acide gras essentiel que l’organisme ne peut pas produire lui-même : il doit donc impérativement être apporté par l’alimentation.

Une fois ingéré, l’ALA est converti en oméga-3 à longue chaîne, indispensables notamment au bon développement cérébral, visuel et immunitaire des enfants.

Zinc, iode, B12 : compléments parfois nécessaires

Le zinc, l’iode et la vitamine B12 sont des micronutriments essentiels au développement et au fonctionnement de l’organisme, mais souvent moins présents ou moins bien assimilés dans les régimes végétariens.

La vitamine B12, notamment, se trouve presque exclusivement dans les produits d’origine animale. En cas de consommation insuffisante, une supplémentation est indispensable pour éviter des troubles neurologiques ou une anémie. Le zinc et l’iode peuvent également nécessiter une attention particulière, selon les habitudes alimentaires de l’enfant.

Un accompagnement médical permet d’évaluer les apports et de mettre en place une complémentation si nécessaire.

En bref

Il est conseillé d’associer dans un même repas des végétaux complémentaires :

  • les légumineuses avec les céréales ;
  • les fruits oléagineux ;
  •  les graines (les 1ères étant pauvres en méthionine et riches en lysine contrairement aux autres végétaux)[3] : cela permet de couvrir les besoins en acides aminés indispensables à la croissance de l’enfant.

Le régime végétarien, qui a comme seules exclusions la viande et le poisson, peut être envisagé chez l’enfant à condition d’être parfaitement équilibré et suivi.

Allaitement et alimentation de la mère : quelles influences ?

Carence en vitamine B12 chez la mère végétalienne

Le lait maternel reste un aliment parfaitement adapté aux besoins du nourrisson, quelle que soit l’alimentation de la mère. Toutefois, chez une mère végétalienne, une carence en vitamine B12 peut entraîner un déficit dans son lait, avec des risques graves pour le bébé allaité.

Il est donc recommandé d’anticiper une supplémentation[4], notamment en vitamine B12, vitamine D, fer, iode et acides gras oméga-3, selon les apports alimentaires.

Un suivi médical ou nutritionnel permet d’évaluer les besoins et d’ajuster la supplémentation si nécessaire, afin de préserver l’équilibre nutritionnel du nourrisson.

Le bébé allaité n’est pas végétalien

Un bébé allaité n’est pas végétalien, même si sa mère l’est. Le lait maternel contient naturellement tous les nutriments nécessaires à la croissance du nourrisson, y compris des protéines et des lipides d’origine humaine. Ce n’est qu’à partir de la diversification alimentaire que l’on peut réellement parler d’un régime végétarien ou végétalien chez l’enfant, selon les choix de ses parents.

En crèche ou à l’école : quelles obligations, quels droits ?

Loi EGalim, un menu végétarien hebdomadaire obligatoire

Depuis 2020, la loi EGalim[5] impose aux cantines scolaires de proposer au moins un menu végétarien par semaine. Ce menu, sans viande ni poisson mais pouvant inclure des œufs ou des produits laitiers, vise à diversifier l’alimentation et à répondre à des choix alimentaires variés. Pour les familles végétariennes, cela représente un point d’appui concret pour demander une éventuelle adaptation des repas.

Le cas des PAI : quand sont-ils requis (et quand ne le sont-ils pas) ?

Le Projet d’Accueil Individualisé (PAI) est un document qui permet d’adapter l’accueil d’un enfant ayant des besoins particuliers, notamment en cas d’allergie ou de maladie chronique. Un choix alimentaire provenant de la famille comme le végétarisme ne justifie pas la mise en place d’un PAI[6]. Dans tous les cas, le dialogue avec la structure est essentiel pour trouver une solution adaptée.

Dialoguer avec la structure d’accueil : trouver un terrain d’entente

Si la loi et les règles institutionnelles fixent un cadre, la mise en œuvre quotidienne dépend aussi du dialogue avec les équipes éducatives. Expliquer calmement les choix alimentaires faits pour l’enfant, fournir des repères clairs et, si nécessaire, proposer des alternatives ou des documents de référence peut aider à établir un climat de confiance.

Cette coopération est souvent la clé pour adapter les repas tout en respectant les contraintes de la collectivité :

  • demander un rendez-vous en début d’année scolaire pour présenter les habitudes alimentaires de l’enfant ;
  • apporter un document récapitulatif (fiche repas, liste d’aliments acceptés ou interdits) ;
  • être ouvert à des compromis sur certains plats (par exemple, accepter les œufs ou les produits laitiers si l’établissement ne peut gérer un menu végétalien) ;
  • s’informer sur les menus à l’avance pour préparer l’enfant et compléter à la maison si besoin ;
  • garder une communication régulière avec le personnel encadrant pour adapter les choix si nécessaire.

Que disent les experts ?

Un accompagnement médical essentiel

Lorsqu’un enfant suit un mode alimentaire avec des exclusions, un suivi médical régulier est indispensable. Cet accompagnement permet d’évaluer précisément l’état nutritionnel de l’enfant et sa croissance staturopondérale, de prévenir les carences potentielles, et de proposer si nécessaire une supplémentation adaptée.

Avant 3 ans : prudence recommandée

Les premières années de vie sont une période de croissance rapide et de développement intense du cerveau. À ce stade, les besoins nutritionnels sont élevés et très spécifiques. Les régimes végétariens ou végétaliens mal équilibrés peuvent exposer l’enfant à des carences aux conséquences durables sur la croissance et sur le neurodéveloppement. Les experts s’accordent à ne pas recommander les régimes avec exclusion alimentaires avant 3 ans.

C’est pourquoi la majorité des experts s’accordent à recommander une vigilance accrue avant l’âge de 3 ans. Une alimentation diversifiée, incluant les nutriments essentiels, reste primordiale pour accompagner correctement cette phase cruciale de développement.

Éducation nutritionnelle des familles

Il est important que les parents connaissent les besoins spécifiques liés à la croissance, apprennent à composer des repas équilibrés et sachent identifier rapidement d’éventuelles carences.

Des consultations avec des professionnels de santé ou des ressources fiables peuvent leur fournir les connaissances nécessaires pour adopter ces régimes alimentaires en toute sécurité.

Le conseil du pédiatre

Et on ne s’affole pas ! Car la cantine, c’est 4 repas par semaine sur les 14 repas hebdomadaires donc les parents peuvent largement équilibrer les semaines de leur enfant.

Dr Sandra BRANCATO

Que disent les experts ?

Un accompagnement médical essentiel

Lorsqu’un enfant suit un mode alimentaire avec des exclusions, un suivi médical régulier est indispensable. Cet accompagnement permet d’évaluer précisément l’état nutritionnel de l’enfant et sa croissance staturopondérale, de prévenir les carences potentielles, et de proposer si nécessaire une supplémentation adaptée.

Avant 3 ans : prudence recommandée

Les premières années de vie sont une période de croissance rapide et de développement intense du cerveau. À ce stade, les besoins nutritionnels sont élevés et très spécifiques. Les régimes végétariens ou végétaliens mal équilibrés peuvent exposer l’enfant à des carences aux conséquences durables sur la croissance et sur le neurodéveloppement. Les experts s’accordent à ne pas recommander les régimes avec exclusion alimentaires avant 3 ans.

C’est pourquoi la majorité des experts s’accordent à recommander une vigilance accrue avant l’âge de 3 ans. Une alimentation diversifiée, incluant les nutriments essentiels, reste primordiale pour accompagner correctement cette phase cruciale de développement.

Éducation nutritionnelle des familles

Il est important que les parents connaissent les besoins spécifiques liés à la croissance, apprennent à composer des repas équilibrés et sachent identifier rapidement d’éventuelles carences.

Des consultations avec des professionnels de santé ou des ressources fiables peuvent leur fournir les connaissances nécessaires pour adopter ces régimes alimentaires en toute sécurité.

Je retiens !

Suivre une alimentation végétarienne peut être adapté aux enfants, à condition de bien équilibrer les repas en protéines, fer, vitamines et acides gras essentiels. Une diversification alimentaire variée et progressive est indispensable.

Le régime végétalien est très restrictif et exige un suivi rigoureux par un professionnel de santé, particulièrement avant l’âge de 3 ans. Ce régime est fortement déconseillé.

Le régime macrobiotique, régime extrêmement restrictif, est fortement déconseillé chez l’enfant car il provoque des carences sévères, entraînant des risques sérieux pour la croissance et le développement cérébral.

Quel que soit le régime alimentaire adopté par la famille, un accompagnement médical et nutritionnel personnalisé, par des professionnels de santé formés aux spécificités de ces régimes particuliers, est toujours recommandé pour garantir la santé et le développement optimal de l’enfant[7].

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[1] CERIN – Végétarisme, végétalisme et risques de carences chez l’enfant
https://www.cerin.org/breves-scientifiques/vegetarisme-vegetalisme-et-risques-de-carences-chez-lenfant/

[2] Ameli – Le traitement de l’anémie par carence en fer
https://www.ameli.fr/gironde/assure/sante/themes/anemie-par-carence-en-fer/soins-prescrits

[3] Cancer Environnement – Vitamine D et cancer
https://www.cancer-environnement.fr/fiches/nutrition-activite-physique/vitamine-d-et-cancer/

[4] Santé.fr – Un enfant peut-il suivre un régime végétarien ou végétalien ?
https://www.sante.fr/un-enfant-peut-il-suivre-un-regime-vegetarien-ou-vegetalien

[5] Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire « Restauration scolaire : tout savoir sur le menu végétarien hebdomadaire », loi EGalim
https://agriculture.gouv.fr/restauration-scolaire-tout-savoir-sur-le-menu-vegetarien-hebdomadaire

[6] Observatoire National des Alimentations Végétales – Accueil des enfants avec une alimentation végétarienne ou végétalienne en collectivité et PAI.
https://onav.fr/accueil-des-enfants-avec-une-alimentation-vegetarienne-ou-vegetalienne-en-collectivite-et-pai-ce-quil-faut-savoir/

[7] Radio France (France Culture / France Info) – Émission « Les idées claires : un régime sans viande est-il dangereux pour un enfant ? », entretien avec Sarah José, nutritionniste-diététicienne
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-idees-claires-le-podcast/un-regime-sans-viande-est-il-dangereux-pour-un-enfant-9681419

Doctissimo – « Bébé peut-il être végétalien ou végétarien ? », Entretien avec Sandra Brancato, pédiatre libérale, membre de l’AFPA
https://www.doctissimo.fr/bebe/alimentation-de-bebe-par-age/alimentation-de-bebe-de-0-a-3-ans/bebe-peut-il-etre-vegetalien-ou-vegetarien/7f12b8_ar.html

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