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TCA : comprendre les troubles des conduites alimentaires chez les enfants et les adolescents

Mis à jour le 29 juillet 2025 2 de nos experts

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© mother-touching-face-woman // Freepik

Les troubles des conduites alimentaires (TCA) constituent un enjeu majeur de santé mentale, en particulier chez les adolescents. Longtemps méconnus ou minimisés, ces troubles tels que l’anorexie mentale, la boulimie ou encore l’hyperphagie boulimique touchent aujourd’hui un nombre croissant de jeunes en France, avec des conséquences parfois graves sur leur état physique, psychique et social. Les TCA concernent en France environ 900 000 personnes et touchent majoritairement les femmes, mais concernent aussi les hommes, notamment dans les cas d’hyperphagie boulimique. Ils apparaissent fréquemment à l’adolescence ou au début de l’âge adulte, avec une prévalence particulièrement élevée chez les jeunes filles.4

Comment repérer les premiers signes d’un trouble des conduites alimentaires chez son enfant ou son adolescent ? Comment instaurer un dialogue sans jugement ? À qui s’adresser pour entamer un accompagnement médical et psychologique adapté ? Cet article fait le point sur les TCA chez les jeunes.

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Troubles des conduites alimentaires : de quoi parle-t-on ?

Les troubles des conduites alimentaires (TCA) désignent des perturbations durables du comportement alimentaire, qui ont tendance à s’aggraver avec le temps. Ils se manifestent par des anomalies qualitatives et/ou quantitatives des apports alimentaires, sans cause organique identifiable. Ces troubles peuvent être associés mais pas toujours à des préoccupations centrées sur le poids, l’image du corps ou l’alimentation. Ils ont un retentissement important sur la santé physique, le bien-être psychologique et la vie sociale.

Ces troubles ne relèvent pas d’un simple caprice ou d’une phase passagère. Ils s’inscrivent dans une souffrance psychique profonde, souvent invisible au départ, mais qui finit par envahir le quotidien de l’enfant ou adolescent concerné et celui de son entourage.

Les TCA apparaissent le plus souvent à l’adolescence, période charnière du développement où l’identité, le corps et la place dans la société sont en pleine mutation. Toutefois, ces troubles peuvent également émerger plus tôt, dès l’enfance, ou plus tard à l’âge adulte.

En France, on estime que plus de 900 000 personnes sont concernées par un trouble des conduites alimentaires (TCA)4, avec une majorité de filles, mais aussi un nombre croissant de garçons, encore trop souvent invisibilisés. Cette estimation regroupe principalement les cas d’anorexie mentale, de boulimie nerveuse et certains troubles non spécifiés. Elle n’inclut pas nécessairement d’autres formes de TCA comme les troubles de l’évitement/restriction de l’ingestion des aliments (ARFID) ou l’hyperphagie boulimique, qui présentent des caractéristiques différentes, notamment en ce qui concerne les préoccupations liées au poids ou à l’image corporelle.

Il n’est pas rare que les formes évoluent dans le temps, ou qu’un même patient présente plusieurs types de troubles au cours de sa vie. Dans tous les cas, il s’agit de maladies mentales complexes, aux causes multiples : facteurs psychologiques, familiaux, biologiques ou encore sociaux (poids des normes esthétiques, réseaux sociaux, harcèlement, etc.).

Le plus important à retenir est que les TCA ne sont pas un choix, mais un symptôme d’une détresse qui nécessite une attention médicale, psychologique et familiale coordonnée.

Anorexie mentale, boulimie, hyperphagie : les formes les plus connues… mais pas les plus fréquentes

Les troubles des conduites alimentaires regroupent plusieurs formes cliniques, dont certaines sont désormais bien identifiées par les professionnels de santé. Bien que chaque TCA possède ses particularités, toutes partagent une caractéristique commune : une souffrance psychique intense centrée sur le rapport au corps, au poids et à la nourriture.

L’anorexie mentale

L’anorexie mentale est l’un des troubles les plus graves, tant sur le plan physique que psychologique. Elle se caractérise par une restriction volontaire de l’alimentation, entraînant une perte de poids significative, souvent accompagnée d’un refus de maintenir un poids corporel jugé “normal” pour l’âge et la taille.

La personne atteinte présente généralement une peur intense de grossir, même lorsqu’elle est objectivement en situation de maigreur, et une altération de la perception de son corps (dysmorphophobie). Cette image déformée renforce la spirale restrictive, souvent agrémentée de conduites purgatives comme les vomissements, l’usage de laxatifs ou un excès d’activité physique.

Selon la Haute Autorité de Santé (HAS), plusieurs critères cliniques sont nécessaires pour poser le diagnostic : perte de poids significative, comportements de contrôle, obsession alimentaire, isolement, et parfois aménorrhée (disparition des règles chez les adolescentes). L’anorexie mentale peut débuter très insidieusement et s’installer durablement si elle n’est pas prise en charge précocement¹.

Pour en savoir plus sur les signes, les causes et la prise en charge de l’anorexie mentale, consultez notre article dédié.

La boulimie

La boulimie est marquée par des crises récurrentes d’ingestion massive d’aliments en un court laps de temps, associées à un sentiment de perte de contrôle. Ces épisodes sont souvent suivis de comportements compensatoires inadaptés, visant à éviter la prise de poids : vomissements provoqués, jeûne prolongé, activité physique excessive ou utilisation de laxatifs.

Contrairement à l’anorexie, les personnes boulimiques conservent généralement un poids dans la norme, ce qui rend le trouble moins visible de l’extérieur. Pourtant, la souffrance est bien réelle, nourrie par un cycle de honte, de culpabilité et de perte d’estime de soi. Ces comportements peuvent être présents plusieurs fois par semaine, voire par jour.

La boulimie touche souvent des adolescents ou des jeunes adultes, avec un retentissement majeur sur la santé mentale, mais aussi sur l’organisme (troubles digestifs, déséquilibres électrolytiques (anomalies des minéraux essentiels comme le sodium ou le potassium), érosion dentaire, etc.).

Pour en savoir plus sur les signes, les causes et la prise en charge de la boulimie, consultez notre article dédié.

L’hyperphagie boulimique

L’hyperphagie boulimique est aujourd’hui reconnue comme une pathologie à part entière. Elle se manifeste par des crises alimentaires similaires à celles de la boulimie, mais sans comportements de compensation. Les aliments sont consommés en grande quantité, souvent rapidement, en dehors des sensations de faim, et dans un contexte d’émotions intenses : stress, tristesse, colère ou ennui.

Les patients concernés peuvent rapidement prendre du poids, voire souffrir d’obésité. Mais là encore, l’enjeu n’est pas simplement nutritionnel : l’hyperphagie est un trouble psychique qui répond à une souffrance émotionnelle et nécessite un accompagnement global (médical, psychologique, nutritionnel).

Selon l’Inserm, ce trouble concernerait environ 3 à 5 % de la population française, avec une fréquence plus importante chez les femmes, mais également chez des hommes et des adolescents³.

Pour en savoir plus sur les signes, les causes et la prise en charge de l’hyperphagie boulimique, consultez notre article dédié.

D’autres formes de TCA souvent méconnues : ARFID, TCA non spécifiés, le PICA et le mérycisme

Si l’anorexie mentale et la boulimie sont les formes les plus connues des troubles des conduites alimentaires (TCA), elles ne représentent qu’une partie de la réalité. D’autres TCA, moins visibles mais tout aussi préoccupants, concernent un grand nombre d’enfants et d’adolescents. Parmi eux, les troubles des conduites alimentaires non spécifiés sont les plus fréquents. Ils désignent des situations où les comportements alimentaires pathologiques sont bien présents, mais sans que tous les critères diagnostiques d’un trouble « typique » soient réunis (par exemple, une fréquence ou une intensité moindres que dans l’anorexie ou la boulimie). Ces formes, parfois minimisées, ont pourtant un retentissement significatif sur la santé physique, psychique et sociale des jeunes concernés.

Un autre trouble moins connu mais pourtant l’un des plus fréquent chez l’enfant : l’ARFID (Avoidant/Restrictive Food Intake Disorder), ou trouble de l’évitement/restriction de l’ingestion des aliments. Contrairement à l’anorexie, l’ARFID n’est pas motivé par une peur de grossir ou une image corporelle déformée. Il se manifeste par un rejet important de certains aliments ou de familles d’aliments, lié à des caractéristiques sensorielles (goût, texture, odeur), à une anxiété liée à l’alimentation (peur d’étouffer, de vomir…) ou à un désintérêt marqué pour la nourriture. Ce trouble peut entraîner une dénutrition, une perte de poids, des carences ou des difficultés sociales (repas évités à l’école, isolement…). Il apparaît souvent dans l’enfance ou la préadolescence, et nécessite une prise en charge adaptée, incluant à la fois le suivi médical, psychologique et parfois orthophonique ou sensoriel.

Quand on parle de troubles de l’alimentation, on pense souvent à des choses comme le fait de ne pas manger assez, ou de trop manger. Mais il existe d’autres types de troubles, parfois moins connus, qui peuvent toucher les enfants. Parmi eux, il y a le Pica et le Mérycisme.

Le Pica est un trouble où un enfant mange de manière répétée des substances non nutritives et non alimentaires comme de la terre, des cheveux, de la peinture, du plâtre, de la craie, des cailloux… Il est courant que les bébés et les tout-petits mettent des objets à la bouche pour explorer le monde. Cependant, si cela persiste au-delà d’un certain âge (généralement après 2 ans) et que votre enfant continue de manger ces choses non comestibles pendant au moins un mois, cela peut être du Pica. Le Pica peut être dangereux, car ces substances peuvent être toxiques (peinture au plomb), provoquer des étouffements, des infections, ou des problèmes digestifs.

Si vous observez cela chez votre enfant, il est important d’en parler rapidement à votre pédiatre. Il pourra vérifier s’il n’y a pas de carences (par exemple en fer) qui pourraient parfois être liées, et vous orienter vers des professionnels pour aider votre enfant.

Le Mérycisme (ou rumination) est différent, c’est un trouble où la personne (souvent un enfant ou un bébé) régurgite de la nourriture déjà mangée et avalée, puis la remâche, la réavale ou la recrache. Après avoir mangé, l’enfant fait revenir sa nourriture de l’estomac dans sa bouche sans effort, sans nausée ni haut-le-cœur. C’est presque un réflexe. Ce n’est pas la même chose que des vomissements, car il n’y a pas de douleurs ou de nausées associés. C’est un acte qui peut parfois être apaisant pour l’enfant, mais qui est involontaire. Si vous remarquez que votre enfant régurgite et remâche régulièrement ses aliments de cette manière, il est important de consulter un médecin. C’est un trouble qui peut être géré avec de l’aide et des techniques spécifiques.

Les conséquences des TCA sur la santé physique et mentale

Les troubles des conduites alimentaires ne sont pas de simples « problèmes alimentaires ». Ce sont des pathologies complexes qui ont un impact profond et durable sur l’ensemble de la santé mentale, physique, émotionnelle et sociale.

Un retentissement grave sur la santé physique

Les effets physiologiques des TCA varient selon le type de trouble, mais ils peuvent être sévères, durables, voire mortels.

Chez les personnes souffrant d’anorexie mentale, la dénutrition provoque une carence en vitamines, minéraux et protéines, entraînant une fonte musculaire, une fragilité osseuse (ostéoporose), une hypothermie, un ralentissement cardiaque (bradycardie). Chez les adolescentes, elle peut aussi provoquer un arrêt des règles (aménorrhée) et perturber durablement la croissance.

Les personnes souffrant de boulimie, quant à elles, risquent des lésions digestives dues aux vomissements répétés, une érosion de l’émail dentaire, des troubles rénaux et des déséquilibres électrolytiques dangereux (notamment une baisse du potassium, pouvant causer des troubles cardiaques).

Dans le cas de l’hyperphagie, les prises alimentaires excessives et régulières peuvent favoriser une prise de poids rapide, exposant à un risque accru de maladies métaboliques comme le diabète de type 2, d’hypertension, de maladies cardiovasculaires et d’apnée du sommeil.

Une souffrance psychique omniprésente

La détresse psychologique est au cœur des TCA. Ces troubles s’accompagnent très souvent d’anxiété, de dépression, d’un sentiment d’échec, d’une baisse de l’estime de soi, voire d’idées suicidaires.

La nourriture devient une source d’angoisse et de contrôle, et le corps un ennemi permanent. L’obsession du poids et de l’apparence occupe une place démesurée dans le quotidien, au détriment des liens sociaux, des études, du plaisir, et de la confiance en soi.

Les jeunes touchés par un TCA sont souvent dans le déni ou dans une grande culpabilité, ce qui retarde la demande d’aide. D’où l’importance d’une prise en charge rapide, multidisciplinaire et bienveillante, pour enrayer le cercle vicieux du trouble.

Comment reconnaître un TCA chez un enfant ou un adolescent ?

À l’adolescence, les comportements alimentaires peuvent évoluer : certaines restrictions ou préoccupations autour du corps peuvent sembler « normales ». Mais lorsque l’alimentation devient une obsession, qu’elle altère la santé physique, le bien-être psychique et la vie sociale, il peut s’agir d’un trouble des conduites alimentaires.

Chez l’enfant, les troubles des conduites alimentaires (TCA) peuvent se manifester différemment, souvent par un refus ou une restriction alimentaire liés à des peurs spécifiques, des aversions sensorielles, ou un désintérêt marqué pour la nourriture.

Les signes d’alerte ne sont pas toujours flagrants. Ils peuvent s’installer progressivement, souvent de manière dissimulée, ce qui rend le repérage difficile, même pour des parents très attentifs.

Des comportements alimentaires inhabituels

Un adolescent qui commence à trier exagérément ses aliments, saute des repas, prétend avoir déjà mangé, refuse certains groupes alimentaires (notamment les graisses ou les féculents), ou encore prépare à manger pour les autres sans y toucher lui-même, peut exprimer une souffrance.

La vitesse du repas peut aussi changer : parfois interminable, parfois expédié en cachette. Dans les cas de boulimie, il peut y avoir des épisodes de crises alimentaires incontrôlables, souvent suivis d’un isolement ou d’un passage aux toilettes (pour se faire vomir, notamment). L’adolescent peut également accumuler des emballages ou de la nourriture dans sa chambre.

Une focalisation extrême sur le corps et le poids

Chez les jeunes atteints de TCA, l’image corporelle est profondément perturbée. Même avec un poids normal ou insuffisant, ils peuvent se percevoir comme « trop gros » et être incapables d’accepter le regard des autres ou leur propre reflet.

Cette dysmorphophobie (altération de la perception de soi) est au cœur de certains troubles, et se manifeste souvent par des remarques dévalorisantes sur leur silhouette ou par la peur obsessionnelle de grossir.

Des modifications du comportement et du mode de vie

Le TCA s’installe souvent dans un silence douloureux. L’adolescent peut devenir irritable, fermé au dialogue, perfectionniste à l’extrême, voire hyperinvesti dans les études, au détriment de sa vie sociale. L’isolement, la baisse d’estime de soi, les fluctuations de l’humeur ou les moments de repli doivent également alerter.

Les parents témoignent souvent d’un sentiment d’impuissance, confrontés à un enfant qu’ils ne reconnaissent plus, entre opposition rigide, discours tranchés et fermeture à toute tentative de communication sur le sujet.

Un outil pour vous aider à repérer un TCA : le questionnaire SCOFF

Le questionnaire SCOFF, adapté pour les parents, peut permettre un repérage précoce. Une réponse positive à au moins deux questions sur cinq est fortement évocatrice d’un TCA (Luck et al., 2002 ; Garcia et al., 2011) :

  1. Votre adolescent·e se fait-il·elle vomir parce qu’il·elle pense avoir trop mangé ?
  2. Est-il·elle préoccupé·e par une perte de contrôle sur ce qu’il·elle mange ?
  3. A-t-il·elle perdu plus de 6 kg en 3 mois ?
  4. Est-il·elle persuadé·e d’être gros·se malgré un poids normal ou insuffisant ?
  5. La nourriture envahit-elle de manière excessive ses pensées quotidiennes ?

Ce repérage ne remplace pas un diagnostic médical, mais peut inciter à consulter sans attendre.

Quels soins et accompagnements pour les adolescents atteints de TCA ?

Face à un trouble des conduites alimentaires, il est essentiel de ne pas rester seul. Plus le diagnostic est posé tôt, meilleures sont les chances de rétablissement. Même si l’adolescent refuse l’aide dans un premier temps, ouvrir le dialogue et poser un cadre sécurisant sont déjà des premières étapes.

Une prise en charge globale, pluridisciplinaire et individualisée

Le traitement des TCA repose sur une approche globale, qui prend en compte à la fois la santé physique, l’état psychologique et la dynamique familiale. L’objectif n’est pas seulement de normaliser le poids ou l’alimentation, mais de soulager la souffrance psychique à l’origine du trouble.

La prise en charge des troubles du comportement alimentaire repose sur un travail d’équipe, centré autour du médecin de l’enfant ou de l’adolescent, qu’il s’agisse d’un médecin généraliste ou d’un pédiatre.

Ce suivi s’inscrit dans une approche pluridisciplinaire qui associe, selon les besoins, des professionnels de la santé mentale (psychologue, pédopsychiatre), de la nutrition (diététicien·ne, nutritionniste), mais aussi des soignants et intervenants paramédicaux (infirmier·ère, psychomotricien·ne, art-thérapeute…).

L’objectif est de proposer un accompagnement global, bienveillant et coordonné, qui intègre l’enfant ou l’adolescent dans sa singularité, tout en impliquant activement sa famille.

Selon la gravité du trouble, l’adolescent peut être suivi en consultations ambulatoires, dans un centre spécialisé, ou nécessiter une hospitalisation en cas de dénutrition sévère ou de mise en danger vitale.

Les parents ont un rôle clé dans la trajectoire des soins

Même si l’adolescent est souvent dans le refus ou le déni, les parents restent des alliés essentiels. Leur présence, leur écoute, leur vigilance sont souvent des points d’ancrage dans un moment de grande vulnérabilité. Certains centres proposent même des groupes de parole ou des accompagnements familiaux, qui permettent aux proches de se sentir soutenus.

Il est important de déculpabiliser les parents : ils ne sont pas la cause du trouble, et il existe des solutions et des ressources pour sortir de cette spirale.

Où s’adresser ?

  • Le médecin traitant est souvent le premier interlocuteur.
  • Des structures spécialisées existent, comme les centres référents TCA en hôpital ou certaines Maisons des adolescents.
  • Des associations comme La Fédération Française Anorexie Boulimie ou encore Aidons les nôtres proposent écoute, conseils et orientation.

Je retiens !

Les troubles des conduites alimentaires (TCA) sont de véritables maladies mentales, complexes, souvent silencieuses, mais jamais anodines. Ils traduisent une souffrance profonde qui nécessite une écoute attentive, une prise en charge adaptée et un accompagnement dans la durée. En tant que parents, vous n’êtes pas seuls : de nombreux professionnels et structures sont là pour vous aider à avancer avec votre enfant, sans jugement ni précipitation.

Mettre des mots, poser des questions, exprimer son inquiétude, c’est déjà commencer à agir. Plus tôt le trouble est repéré, plus les chances d’un retour à une vie apaisée sont grandes.

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