Mis à jour le 20 juin 2025 3 de nos experts

Le TDAH (Trouble du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité) touche environ 3 à 5 % des enfants en France selon l’Inserm[1]. Par ailleurs, d’après Ameli[2], le TDAH concerne 5 % des moins de 18 ans et 3 % des adultes. Le TDAH présent chez l’enfant persiste à l’adolescence et à l’âge adulte. Il semble deux fois plus fréquent chez les garçons. Souvent confondu avec de la simple agitation ou un comportement difficile, ce trouble neurodéveloppemental complexe se manifeste par des difficultés à se concentrer, une impulsivité marquée et une grande agitation. Les trois I : Inattention, Instabilité, Impulsivité. Pourtant, il ne s’agit ni d’un caprice, ni d’un défaut d’éducation : le TDAH est un véritable trouble neurodéveloppemental, qui peut impacter profondément la vie scolaire, sociale et familiale de l’enfant s’il n’est pas identifié et pris en charge. De plus, il met l’enfant en souffrance car il est grondé pour des attitudes qu’il voudrait mais ne peut pas maitriser.
Le TDA à dominante attentionnelle sans hyperactivité est encore plus discret puisque l’enfant ne se fait remarquer que par son inattention et non pas par son agitation : il est « dans la lune », en particulier chez la petite fille et donc de diagnostic plus tardif.
Pour les parents, il n’est pas toujours facile de repérer les signes ni de savoir quand consulter. Nous vous proposons un guide complet et objectif pour mieux comprendre ce trouble et accompagner au mieux votre enfant au quotidien.
Écouter l'article
0:00 / 0:00Sommaire de l'article
Qu’est-ce que le TDAH ? Comprendre ce trouble neurodéveloppemental
Le TDAH, ou Trouble du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité, est un trouble neurodéveloppemental qui affecte certaines fonctions du cerveau liées à la régulation de l’attention, du comportement et des émotions. Il apparaît dès l’enfance, souvent entre 4 et 7 ans, et peut persister à l’adolescence voire à l’âge adulte. Le TDAH perdure dans 50 % à 80 % des cas à l’adolescence et même dans 30 % à 50 % à l’âge adulte[3]. On retrouve souvent des signes antérieurs même chez le tout petit mais ils sont tolérables par les parents qui s’y habituent. C’est au moment de l’école et des apprentissages que les symptômes interpellent les enseignants.
Ce trouble n’est pas lié à un manque de volonté (enfant désobéissant) ni à un défaut éducatif (enfant « mal élevé »).
On estime qu’environ 5 % des enfants en France seraient concernés. Il existe un sex ratio : les garçons seraient deux fois plus touchés que les filles ( comme souvent dans les TND), mais il existe un sous-diagnostic des filles ayant une forme inattentive pure et donc un biais épidémiologiques.
Tous les enfants peuvent montrer ces comportements à certains moments de leur développement ou lors de circonstances difficiles dans la vie familiale. Ce qui distingue le TDAH pur, c’est l’intensité, la fréquence, la durabilité et l’impact sur la vie quotidienne, à l’école, en famille ou dans les relations avec les autres. La particularité de tout TND, et donc du TDAH, c’est que la symptomatologie impacte tous les lieux de vie de l’enfant : famille, école, vie extrascolaire et sociale. On ne peut pas avoir un TDAH que à l’école ou que en famille. Dans ce cas il faut rechercher une autre cause à son comportement problématique. La souffrance de l’enfant ne se voit pas parce qu’elle est cachée par les troubles du comportement.
Comment reconnaître les symptômes du TDAH chez l’enfant ?
Les symptômes apparaissent généralement avant l’âge de 7 ans, selon l’Inserm. Toutefois, chez les plus jeunes, il peut être difficile de faire la différence entre une simple immaturité et un véritable trouble. Le repérage du TDAH repose donc sur l’observation de trois grands types de manifestations : l’inattention, l’hyperactivité (instabilité) et l’impulsivité et leur retentissement sur le quotidien de l’enfant.
L’inattention : un manque de concentration qui pénalise l’enfant
L’un des signes les plus fréquents du TDAH est une difficulté persistante à maintenir l’attention. L’enfant concerné semble souvent « ailleurs », même lorsqu’on s’adresse directement à lui. Il peut avoir du mal à se concentrer sur une tâche scolaire ou un jeu, « papillonner », oublier les consignes ou perdre facilement ses affaires. Ce déficit d’attention peut avoir un impact direct sur les apprentissages, car il empêche l’enfant d’accéder aux informations, de les organiser et de les restituer. Les enseignants signalent souvent un comportement distrait, une lenteur à terminer les exercices ou un manque de suivi dans les activités. Les parents constatent le désordre, les retards, le manque de respect des consignes. De plus l’enfant éprouve une grande fatigabilité car il doit fournir des efforts constants pour maintenir son attention.
Une agitation motrice présente chez certains enfants
Certains enfants, présentent une activité motrice excessive. Ces enfants bougent beaucoup, parlent sans cesse, changent de sujet, se lèvent fréquemment, courent ou grimpent sans raison apparente, même dans des contextes qui exigent du calme. Ils font tomber leurs affaires du bureau, renversent leur verre, etc. Cette agitation n’est pas volontaire : elle est liée à des difficultés à se poser et à se réguler. Ce comportement, souvent mal compris, peut être épuisant pour l’entourage et source de conflits, notamment à l’école, où les règles de conduite sont strictes.
L’impulsivité : des réactions immédiates, sans filtre
L’impulsivité est un autre aspect clé du TDAH. L’enfant agit sans réfléchir, coupe la parole, passe du coq à l’âne, répond avant la fin des questions ou interrompt les jeux, il peut traverser la route sans regarder, s’adresser à un adulte inconnu et faire des remarques inappropriées. Il a du mal à attendre son tour, ce qui peut entraîner des tensions avec ses camarades. Ce manque de contrôle peut aussi se traduire par des gestes brusques, des colères ou une grande frustration lorsque les choses ne vont pas comme il le souhaite. L’impulsivité peut ainsi perturber les relations sociales (absence de filtre) et entraîner un sentiment d’exclusion ou d’incompréhension.
Tous les enfants traversent des phases d’agitation ou d’inattention, mais dans le cas du TDAH, ces comportements sont durables, intenses et présents dans l’ensemble des lieux de vie de l’enfant : à la maison, à l’école, et dans les activités extrascolaires. Ils ne sont pas seulement gênants ; ils provoquent des difficultés concrètes dans la vie de l’enfant et peuvent peser lourdement sur son développement et son bien-être et les apprentissages scolaires.
Autres troubles fréquemment associés au TDAH
Chez plus de deux tiers des enfants présentant un TDAH, d’autres troubles sont associés. Ils peuvent amplifier les difficultés scolaires, relationnelles ou familiales, et nécessitent une attention particulière dans le diagnostic et la prise en charge.
Voici les principaux troubles associés observés :
- trouble spécifique des apprentissages : troubles spécifiques des apprentissages touchant le langage écrit, la cognition mathématique, souvent sources d’échec scolaire ou de découragement ;
- trouble développemental du langage : affectant la compréhension ou l’expression orale ;
- trouble des coordinations : aussi appelée dyspraxie parfois accompagnée de dysgraphie ;
- trouble du spectre de l’autisme : associant des difficultés dans les interactions sociales et une rigidité comportementale ;
- tics et syndrome de Gilles de la Tourette : mouvements ou vocalisations involontaires et répétitifs ;
- troubles psychiques : anxiété, faible estime de soi, dépression, troubles obsessionnels compulsifs (TOC) ;
- troubles du comportement : conduites d’opposition, irritabilité, agressivité, transgressions fréquentes des règles sociales ;
Les enfants présentant un TDAH peuvent avoir des difficultés d’endormissement ou des troubles plus complexes du sommeil, qui doivent être explorés à la recherche notamment d’un TROS (troubles respiratoires obstructifs du sommeil). Ce dernier peut à lui seul expliquer les symptômes de l’enfant.
- troubles du sommeil : insomnie, parasomnies (cauchemars, somnambulisme), syndrome des jambes sans repos, apnées du sommeil ;
- énurésie : plus fréquente chez les enfants atteints de TDAH, elle peut aussi être liée à des troubles du sommeil.
La reconnaissance et la prise en compte de ces troubles associés permettent de mieux comprendre les difficultés de l’enfant et d’adapter les accompagnements éducatifs et pédagogiques.
Poser un diagnostic : à quel moment consulter et vers qui se tourner ?
Le diagnostic du TDAH est une étape essentielle, souvent source de questionnements pour les familles. Il ne repose pas sur une simple intuition ni sur une consultation isolée, mais sur une évaluation médicale complète et souvent pluridisciplinaire. Identifier ce trouble du neurodéveloppement demande du temps, de l’observation, et une véritable collaboration entre les parents, le médecin et l’entourage scolaire de l’enfant.
Quand faut-il commencer à s’inquiéter ?
Si un enfant présente de manière persistante des comportements d’inattention, d’impulsivité ou d’hyperactivité, et que ces symptômes nuisent à sa vie quotidienne, à l’école comme à la maison, il est légitime de consulter. L’alerte vient souvent des enseignants, qui constatent des difficultés de concentration, une agitation constante ou des troubles du comportement perturbant les apprentissages. Mais les parents sont également en première ligne pour repérer des signes inhabituels, en particulier lorsque ces comportements persistent depuis plusieurs mois et semblent s’intensifier.
Qui peut poser un diagnostic de TDAH en France ?
En France, le diagnostic du TDAH est médical et peut être posé par un pédiatre, neuropédiatre, psychiatre, pédopsychiatre ou tout médecin formé au TDAH. Le diagnostic s’appuie sur : l’examen clinique, l’analyse de la trajectoire développementale, les entretiens avec la famille, les observations directes du comportement de l’enfant. Le médecin pourra avoir recours à des questionnaires standardisés remplis par les parents et les enseignants. Les dernières recommandations HAS d’Octobre 2024 précisent qu’un bilan neuropsychologiques n’est pas nécessaire pour la pose du diagnostic de TDAH. Néanmoins dans certaines situations complexes ou pour mieux comprendre le fonctionnement cognitif de l’enfant il peut être pertinent mais ne doit pas être systématique.
Il est nécessaire d’évaluer les apprentissages : lecture, orthographe, mathématique à la recherche d’un trouble des apprentissages souvent associé. Une évaluation psychométrique est parfois nécessaire.
Une démarche diagnostique complète est indispensable pour identifier un véritable trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité, et non un simple comportement difficile ou une réaction à un environnement perturbant.
Pourquoi le diagnostic est une étape importante ?
Le diagnostic du TDAH permet de mieux comprendre les difficultés rencontrées par l’enfant, d’adapter son accompagnement scolaire et familial, et de soulager une culpabilité souvent présente chez lui et chez ses parents. Il ne s’agit pas de mettre une étiquette sur l’enfant, mais de reconnaître que ses difficultés ont une origine neurodéveloppementale, et qu’elles nécessitent une approche spécifique.
Recevoir un diagnostic ouvre aussi la porte à des ressources précieuses : soutien scolaire, suivi psychologique, adaptation des méthodes d’apprentissage, thérapies comportementales, voire traitement médicamenteux dans certains cas. Plus le diagnostic est posé tôt, plus il est possible de limiter l’impact du trouble sur la vie sociale, scolaire et émotionnelle de l’enfant et éviter un éventuel surhandicap.
Quels sont les traitements et les prises en charge possibles pour le TDAH ?
Une approche multimodale : bien plus que les médicaments
Contrairement à une idée reçue, le traitement du TDAH ne se résume pas à la prise d’un médicament. Le plus souvent, les professionnels de santé recommandent une prise en charge dite “multimodale”. Cela signifie qu’elle combine plusieurs types d’accompagnement pour agir à différents niveaux : comportemental, émotionnel, scolaire et familial.
La première étape repose en priorité sur la psycho éducation qui consiste à accompagner les parents pour leur permettre de mieux comprendre le fonctionnement de leur enfant, leur proposer des pistes éducatives pour gérer les situations du quotidien plus sereinement.
Cet accompagnement peut se faire à travers des consultations, des ateliers en groupe ou des entretiens individuels. Il existe des programmes parentaux de type Barkley ou plus récemment les PEHP (Programmes d’Education aux Habilités Parentales) spécifiques pour les parents d’enfants avec TDAH.
Une thérapie cognitivo-comportementale (TCC) peut être proposée à l’enfant. Elle vise à l’aider à identifier ses émotions, à apprendre à se concentrer, à contrôler ses impulsions et à développer des stratégies pour réussir à l’école ou dans ses relations sociales. Ces outils sont particulièrement utiles dans la gestion de l’impulsivité et de l’inattention.
TDAH et scolarité : quelles aides pour les élèves concernés ?
Les troubles de l’attention, l’impulsivité et l’hyperactivité peuvent perturber significativement la scolarité d’un enfant. Difficultés à se concentrer, à suivre les consignes, agitation ou lenteur peuvent altérer les apprentissages, créer des tensions avec les enseignants ou les pairs, et provoquer une démotivation voire un échec scolaire et des troubles thymiques (mésestime de soi, symptômes dépressifs).
Pour accompagner au mieux ces élèves, différents dispositifs sont prévus dans le cadre de l’Éducation Nationale. Ils permettent d’adapter l’environnement scolaire à leurs besoins spécifiques. Ils sont demandés par l’équipe pédagogique (professeur principal en lien avec le médecin de l’éducation nationale).
- Le PPRE (Programme personnalisé de réussite éducative) : pour les enfants présentant des difficultés dans les apprentissages. Il s’agit d’un contrat formalisé entre l’enseignant et l’élève , sans intervention du médecin scolaire ni de la MDPH.
- Le PPS (Projet personnalisé de scolarisation) : destiné aux enfants reconnus en situation de handicap (avec notification de la MDPH). Il ouvre droit à des adaptations pédagogiques plus larges et, si besoin, à un accompagnement humain (AESH – Accompagnant d’Élève en Situation de Handicap).
- Le PAP (Plan d’accompagnement personnalisé) : pour les enfants ayant des troubles durables des apprentissages, comme ceux associés au TDAH. Il est élaboré par l’équipe éducative en lien avec les parents et les professionnels de santé. Il est validé par le médecin scolaire.
L’objectif est de construire un cadre scolaire qui soutienne l’enfant, tout en tenant compte de ses forces et de ses fragilités.
Une communication régulière avec l’école, ainsi qu’un suivi médical et/ou psychologique, permettent de prévenir le décrochage scolaire et de favoriser un climat de confiance autour de l’élève.
Le traitement médicamenteux : dans quels cas faut-il l’envisagé ?
En France, un seul médicament est actuellement autorisé dans le traitement du TDAH chez l’enfant : le méthylphénidate. Il s’agit d’un stimulant du système nerveux. Il peut paraître paradoxal d’administrer un stimulant à un enfant hyperactif, mais chez les personnes atteintes de TDAH, ce médicament contribue à apaiser l’agitation, à améliorer la concentration et à réduire l’impulsivité. Il agit en rétablissant l’équilibre des médiateurs chimiques du fonctionnement neuronal, en particulier la Dopamine (neurotransmetteur cérébral ayant un rôle essentiel dans le mouvement, la motivation, le plaisir et la récompense).
Le recours au traitement médicamenteux ne se fait jamais en premier recours. Il est envisagé lorsque les symptômes sont sévères, qu’ils nuisent fortement à la vie scolaire, familiale ou sociale de l’enfant, et que les autres approches ne suffisent pas. En général, le traitement peut être initié à partir de 6 ans.
Le méthylphénidate n’est pas un stupéfiant et peut être pris en continu. Il n’entraine pas de dépendance. Certains enfants ne le prennent que pendant les périodes scolaires, et font une pause pendant les vacances.
Les effets indésirables peuvent être des troubles du sommeil, de la croissance, de l’appétit et du poids, de l’humeur, etc. Il faudra alors les évaluer en face des bénéfices.
Activités de relaxation pour les enfants atteints de TDAH
Certaines activités de relaxation peuvent jouer un rôle complémentaire dans l’accompagnement des enfants atteints de TDAH. Pratiques comme la méditation de pleine conscience, la sophrologie, la respiration profonde, le yoga ou encore le qi gong et l’hypnose permettent à l’enfant de mieux gérer son agitation intérieure, d’apprendre à se recentrer et à canaliser ses émotions. Ces approches favorisent également la concentration, le sommeil et l’estime de soi. Par exemple, des exercices simples de respiration ou de visualisation peuvent être pratiqués à la maison ou à l’école, même en quelques minutes, avec des bénéfices visibles sur le long terme. Bien qu’elles ne remplacent pas un suivi médical ou psychologique, ces activités peuvent en être un précieux complément.

Je retiens !
Le TDAH n’est ni une fatalité, ni une simple « mauvaise éducation » ni une mode… C’est un trouble neurodéveloppemental complexe, qui a toujours existé mais qui est compris depuis peu d’années qui affecte le quotidien de nombreux enfants et par ricochet, celui de leurs familles. Reconnaître les symptômes, poser un diagnostic fiable et mettre en place une prise en charge adaptée permet à l’enfant (et à sa famille) de mieux vivre avec son trouble, de progresser à son rythme, et de retrouver confiance en lui.
En tant que parents, il est normal de se sentir démunis face aux difficultés d’attention, d’impulsivité ou d’hyperactivité de son enfant. Pourtant, de nombreuses ressources existent aujourd’hui en France pour vous accompagner : pédiatres, pédopsychiatres, médecins généralistes formés à la médecine de l’enfant, psychologues/neuropsychologues, orthophonistes, psychomotriciens, CMP, enseignants, associations… Vous n’êtes pas seuls.
Un enfant atteint de TDAH a besoin d’un cadre bienveillant, d’un accompagnement sur mesure et d’une attention particulière à ses forces autant qu’à ses difficultés. Avec les bons repères, les bons outils et un suivi régulier, il peut s’épanouir pleinement dans sa vie scolaire, sociale et familiale.
Cet article vous a-t-il été utile ?
Cet article n'a pas encore suffisamment de votes, soyez le premier à le noter
mpedia vous a aidé, aidez mpedia en faisant un don
Dernier don de Tatiana : 5 €
Comme Tatiana, soutenez une expertise indépendante et reconnue pour continuer à être un parent bien informé.
- Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité. O. Revol et V. Brun. Collection : Rencontres en rééducation. Editeur : Elsevier / Masson 2010 :83 pages
- TDAH – symptômes, diagnostic et évolution – Ameli
- Trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) : repérer la souffrance, accompagner l’enfant et la famille – questions / réponses – HAS
- Trouble déficit d’attention-hyperactivité (TDA-H) – Hôpitaux Universitaires de Genève
- https://www.tdah-france.fr/
- [1] Inserm — Minute d’attention – C’est quoi le TDAH ?
- [2] Trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité de l’enfant (TDAH) – Ameli
- [3] CENOP Centre de formation – Tout sur le TDAH
Note :
Les liens hypertextes menant vers d’autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est donc possible qu’un lien devienne introuvable. Dans un tel cas, utilisez les outils de recherche pour retrouver l’information désirée.
Vous pouvez aussi être intéressé.e par :
-
Comment voit-on si un enfant a des signes d’hyperactivité ?
La réponse de l'expert
Votre fille a un âge où on ne peut pas parler d’hyperactivité. La grande majorité des enfants qui semblent hyperactif à cet âge sont simplement immatu(...)
il y a 9 ans
-
Hyperactivité et sommeil agité à 8 mois ?
La réponse de l'expert
Bonjour Madame, On ne peut pas parler d’hyperactivité à 8 mois car ce serait admettre une fatalité qui ne se vérifiera peut-être jamais et ce serait é(...)
il y a 3 ans
-
Ma petite fille de 8 mois est hypertonique : signes d’autisme ou hyperactivité ?
La réponse de l'expert
Bonjour, Il n’est pas possible de se prononcer sur un éventuel trouble du spectre autistique avec les données que vous me donnez dans votre mail. Je n(...)
il y a 5 mois
-
Peut-on parler d’hyperactivité chez un bébé de 7 mois ?
La réponse de l'expert
Bonjour Madame, Pourquoi donc vouloir arrêter ce geste d’impatience ? Votre bébé réclame quelque chose : être pris dans les bras, un objet, ou bien il(...)
1 question de parents - la dernière il y a 3 mois
Vous ne trouvez pas de réponse à votre question ?
Vous pouvez consulter les réponses déjà apportées par nos médecins à ce sujet en tapant votre question ou mots clés dans le moteur de recherche ci-dessous
Toujours pas de réponse ? Posez votre question à l'un de nos experts qui vous répondra rapidement.
Je pose ma questionPlus que 8 questions disponibles aujourd’hui